Scènes

Pendant la journée il y aura environs 20 sketchs (de cinq à sept minutes chacun) à propos de la vie à Duck Lake en 1912. Les saynètes seront jouées régulièrement et peuvent être en français, anglais ou bilingues.
  • Le Patriote de l'Ouest
  • Le R.P. Auclair discute avec Mme Blanche Leray à propos du déménagement possible du Patriote de l'Ouest à Prince Albert. Son mari est maçon et pourrait construire un édifice en pierre pour le journal. Ceci permettrait de parler de l'incendie du journal en 1910, mais le père Auclair voudrait parler de l'oeuvre du Patriote.
  • Titanic
  • Clément Mercereau rencontre Toussaint Mariani dans les rues de Duck Lake. Ce dernier vient juste d'arriver de la Corse et se cherche un homestead. Mercereau lui suggère de venir s'établir dans son coin, à la paroisse de Sainte-Anne de Carlton, autrefois connu sous le nom de la Mission St-Eugène. Durant leur conversation on apprendra que l'on veut changer le nom de la place à Titanic en honneur du navire qui vient juste de s'écrouler dans l'Atlantique.
  • Migration vers l'Afrique
  • Désiré «Collomb» Périllat et sa femme, Élise ont pris la décision de quitter le Canada et de déménager en Algérie en Afrique. Ils viennent de recevoir une lettre d'un cousin établit en Afrique qui leur dit que les Algériens sont impossible et qu'ils ne devraient pas quitter le Canada. Que vont-ils faire?
  • Hillyard Mitchell
  • Assis devant son magasin, Hillyard Mitchell se raconte: son arrivée à Duck Lake en 1876, la Rébellion Riel, sa carrière de magistrat, de député à l'Assemblée territoriale, son ranch. Sa relation avec les Indiens et les Français sont aussi discutés.
  • Les Soeurs de la Présentation de Marie
  • Soeur St-Basil, Supérieur de la congrégation à Duck Lake est en compagnie de Alice Gervais, une jeune fille de 15 ans, qui est étudiante à l'école Stobart, mais qui songe st joindre à la congrégation des Soeurs de la Présentation de Marie. Dans se scénario, on parlera de l'oeuvre des Soeurs les premières années à Duck Lake et le rêve de la pertites Gervais de prendre le nom de Élisa de Marie.
  • Fondation de la Société du Parler Français de la Saskatchewan
  • Mgr Ovide Charlebois, o.m.i., encien supérieur de l'école St-Michel discute avec Ovide Dubé , fermier de Duck Lake et ancien maire de Amiqui, Québec. Dans ce scénario, il sera question de la réunion de fondation d'un regroupement des Canadiens français de la Saskatchewan qui vient d'avoir lieu la fin de semaine précédente. On parlera des grands enjeux ressortis lors de la réunion, la délégation qui se rendre à Québec pour le congrès national, etc.
  • Les Chemin de fer et la colonisation
  • Un jeune Armand Gaudet de Bellevue est de passage à Duck Lake. En conversation avec Jean Pogu, ils parlent de la construction prochain d'une ligne de chemin de fer à Bellevue., de l'établissement de village français par l'abbé Bérucé à Victoire, Shell Rive, et Debden et la construction d'un ligne de chemin de fer dans cette région. Armand Gaudet croit qu'une fois que le chemin de fer passera à Bellevue, Duck Lake perdra son influence comme village français car se sera facile d'aller à Prince Albert pour les provision.
  • Les femmes de Batoche
  • Trois vielles métisses se remémorent les évènements de 1885 à Batoche. Une des trois, Madame Letendre, sera de l'avis que les Métis n'auraient pas du prendre les armes; les deux autres défendront leurs hommes soutenant que les Métis avaient été attaqué par la police. Il sera question de la réaction du clergé et des Canadiens français après la bataille, la discrimination que les Métis on du vivre, la pauvreté et la dispersion.
  • Première automobile et le Sports Day
  • Le docteur Narcisse Honoré Touchette arrête à la station d'essence pour faire le plein alors qu'il doit faire un voyage rapide à Prince Albert. Il sera question de son travail comme médecin à Duck Lake, de sa belle voiture et des course de cheveaux, ainsi que l'importance du Sports Days de Duck Lake.
  • L'école Victoria versus l'école Stobart
  • W.A. (William Andrew) Urton parle de la construction prochain d'une nouvelle école séparée à Duck Lake. Il se mécontent que l'école publique Stobart soit une école catholique, que le gouvernement aurait du abolir tout ça, les écoles catholique, surtout quand elles sont publique. Il parle des hommes comme Hillyard Mitchell, William Pozer, de bons Ontariens qui ont fondé l'école Victoria en 1891 et qui maintenant, celle-ci pourra bientôt abandonner son petit shack de logs.
  • Le traitement des Indiens
  • Jimmy Pozer, fils de William John, et jeune homme d'affaires à Duck Lake interpelle l'agent Indian pour son traitement d'un Indien dans les rues du village la veille. Il sera question des limites imposées sur les mouvements des autochtones à cette époque, mais on parlera aussi du «troc» que les marchands de Duck Lake faisaient avec eux.
  • Deux voisines
  • Deux femmes, Claudine Rousset et Étiennette Gentil-Perret, de la région de La Plaine se rencontrent pour parler de leur besogne de la journée. L'unes se prépare à faire du pain, l'autre le lavage. Il sera question d'un collège pour le diocèse de Prince Albert, mais Mgr Mathieu s'y oppose le voulant dans sa ville de Regina.
  • La Suffragettes
  • '...Gentlemen, we object to being classed with those who are denied the vote. We are not idiots, not imbeciles. We are women, and we are asking for equal franchise, not as a favour, but because it is just that we should have it.' - Zoe Haight, dans un discours au Assemblé législative pendant la présentation du pétition du suffrage de 1916.Zoe Haight se rend à Duck Lake avec une groupe de Suffragettes en 1912. Elle vient chez Marie Ripaud, une fermière du coin de Titanic, pour la convaincre de participer à un rallye à l'Assemblée législative à Regina. Marie ne veut rien savoir du droit de la vote car M. le curé lui à dit...
  • Mademoiselle Dorval et l'enseignement de l'anglais
  • Mlle Dorval et ses élèves de Batoche sont à Duck Lake en route pour Saint-Laurent pour y faire un pèlerinage. Mlle Dorval décide de faire un cours impromptu d'anglais, mais la petite Armandine Gareau ne veut rien savoir de l'anglais.
  • Fermons les buvettes
  • Un jeune hommes est à boire unes bière devant l'hôtel de Duck Lake. Le propriétaire sort et un discussion s'ensuit à propos des suffragettes en ville. Le propriétaire de l'hôtel se préoccupe que ça pourrait mener à la fermeture de son établissement s'il perd ls droit de vendre l'alcool, une des plateformes centrales de la Western Christian Temperance Union.
  • Le rêveur et sa famille
  • Une mère arrive à Duck Lake avec ses deux filles. Son mari n'est pas à la gare pour les rencontrer. La plus vieille, qui ne voulait pas venir dans l'Ouest, croit qu'il les à oublié. La plus jeune veut que sa mère lui lise la dernière lettre de son père qui décrit leur homestead dans la région de Bellevue.
  • Le vendeur d'équipement agricole
  • M.J. Dubois, propriétaire d'une agence d'équipement agricole essaie de vendre de l'équipement, surtout une charrue, à un jeune immigrant nouvellement arrivée à Duck Lake. Comme membre du Board of Trade of Duck Lake, il fera valoir les mérites de la région à un immigrant. Il sera aussi question des meilleurs endroits pour s'établir. Le jeune immigrant lui parlera de Marcelin comme destination. Dubois perlera alors du vieux Antoine Mercelin, fondateur du village.
  • Louis Schmidt et les Métis
  • Louis Schmidt est en ville pour la rencontre de la Société du Parler français. Il perlera du travail que les Métis ont fais au fil des ans pour sauvegarder le français et déplorera le fait que bien des Français et des Canadiens français se moquent aujourd'hui de l'accent métis.
  • Mail Order Bride et le maison Eaton
  • Un jeune célibataire est en ville pour rencontrer la jeune demoiselle qu'il correspond avec depuis un an.
















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